Dans une lutte pour la survie contre le cancer, Bernard Tapie apparaît dans un programme de C8 où il avoue ses infidélités !

La fidélité est une valeur qui à ce jour, se cultive difficilement. Cette fois-ci, c’est Bernard Tapis, l’homme touche-à-tout qui revient sur sa vie intime.

La fidélité est une valeur qui à ce jour, se cultive difficilement. Cette fois-ci, c’est Bernard Tapis, l’homme touche-à-tout qui revient sur sa vie intime. Il fait des confidences sur ses nombreuses infidélités lorsqu’il était marié à Michèle. Leur vie à deux n’a donc pas sûrement été un bon de plaisir tous les jours.

Bernard Tapie et ses infidélités

Avant son mariage avec Dominique Mialet-Damianos, Bernard Tapie, avait épousé Michèle Layec dans les années 1960. Une période où l’homme de 78 ans se laissait aller dans l’infidélité. Pas très reluisant !

En effet, le patron de l’OM avait eu l’occasion d’évoquer son premier mariage dans les colonnes du journal Le Parisien. En 2010, il avait été en réalité interrogé sur sa pièce de théâtre Les montagnes russes. Un instant propice où il avait discuté du sujet de l’infidélité lié tout particulièrement à son personnage de l’époque.

Il confie donc qu’il n’a jamais trompé sa femme Dominique puisqu’il a trouvé la perle rare. Celle-là même avec qui, il se sent très bien ! Ce qui n’était pas visiblement le cas pendant son premier mariage. Il affirme donc « Avec ma première épouse, j’étais infidèle au moins de trois paquets par jour… ».

L’homme qui était excessif en tout, comme il l’a évoqué, n’a donc pas fait les choses à moitié. Fort heureusement, ces moments d’infidélité ne sont plus que de vieux souvenir.

Bernard Tapie et sa maladie

Bernard Tapie avait révélé être atteint d’un cancer de l’estomac en septembre 2017. Malheureusement, l’état de l’homme s’est fortement dégradé et la maladie s’est donc propagée dans le corps.

Le 26 avril 2021, il avait confié « J’ai l’œsophage, l’estomac, les poumons et maintenant le cerveau ». Compte tenu de cela, il avait même été hospitalisé au cours de son procès. Au mois de juillet, il avait expliqué également lors d’un entretien sur LCI, qu’il a souffert le martyr. Et ce, du matin au soir, à ne pas pouvoir se laver ni manger. Une vraie souffrance pour l’ex propriétaire d’Adidas.

En outre, Bernard Tapie est à nouveau présent à son domicile, où il avait été violemment agressé. Tout particulièrement lors d’un cambriolage début avril. Des photos avaient même circulé montrant l’homme de 78 ans, le visage totalement tuméfié.

Il faut noter que la maladie a réellement affaibli le businessman qui a perdu énormément du poids. Même une partie de l’audition et sa voix sont presque inaudible. Un véritable coup dur pour sa famille qui est toujours à ses côtés.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Bernard Mourad (@bernard_mourad)

Bernard Tapie, une vie plutôt remplie

Bernard Tapie, né en 1943 dans le 20e arrondissement de Paris, est le propriétaire d’Adidas et de l’Olympique de Marseille. Animateur de télévision, ministre de ville, député français et bien plus, le grand homme aura eu une carrière digne du nom.

Il a quatre enfants qui font sa fierté. Il s’agit de Natalie née en 1968, Stéphane né en 1969. Ce dernier est un grand frère très protecteur. Y compris envers les enfants nés du second mariage entre son père et Dominique. Bernard est également le père de Laurent, le plus discret né en 1974.

Afficher Masquer le sommaire
  • Bernard Tapie. Leçons de vie, de mort et d'amour
    Bernard Tapie. Leçons de vie, de mort et d'amour Durant ces dernières années de combat contre le cancer, Franz Olivier Giesbert a dialogué avec Bernard Tapie, et ils ont parlé de tout. Sans fard. Et c'est ce portrait de celui dont la France a suivi les aventures pendant près de cinquante ans qu'il va faire vivre. Il ne prend jamais d'antidouleurs et je sais qu'il souffre le martyre. Sa femme partie se faire opérer, une opération lourde. Tout seul avec son chien et ses cancers, il m'appelle de plus en plus souvent pour me dire les mêmes choses, d'une voix faible, oppressée. " Les affaires, la politique, le football, le vélo, la télé, le cinéma, la prison, dit-il, je sais toujours de quoi je parle, contrairement à d'autres. C'est pourquoi les gens m'écoutent, moi. " Il a le " vécu ", comme on dit. L'hôpital aussi, Tapie connaît et il secoue volontiers les cancéreux : " Ne restez pas au plumard toute la journée en vous gavant d'antidouleurs. Bougez-vous et vous vous donnez une chance que ça aille mieux ! " - " Personne ne peut rien dire, j'ai le droit de leur parler comme ça, commente-t-il, j'ai la même maladie qu'eux. " Pendant ses trois ans et demi de combat contre le cancer que j'ai quasiment vécus au jour le jour, les hospitalisations duraient toujours moins longtemps que prévu : au premier signe d'amélioration, il repartait, signait une décharge et retournait chez lui continuer la lutte. Tapie ou l'homme qui avait décidé de ne pas mourir".
  • Bernard Tapie. Leçons de vie, de mort et d'amour
    Bernard Tapie. Leçons de vie, de mort et d'amour Durant ces dernières années de combat contre le cancer, Franz Olivier Giesbert a dialogué avec Bernard Tapie, et ils ont parlé de tout. Sans fard. Et c'est ce portrait de celui dont la France a suivi les aventures pendant près de cinquante ans qu'il va faire vivre. Il ne prend jamais d'antidouleurs et je sais qu'il souffre le martyre. Sa femme partie se faire opérer, une opération lourde. Tout seul avec son chien et ses cancers, il m'appelle de plus en plus souvent pour me dire les mêmes choses, d'une voix faible, oppressée. " Les affaires, la politique, le football, le vélo, la télé, le cinéma, la prison, dit-il, je sais toujours de quoi je parle, contrairement à d'autres. C'est pourquoi les gens m'écoutent, moi. " Il a le " vécu ", comme on dit. L'hôpital aussi, Tapie connaît et il secoue volontiers les cancéreux : " Ne restez pas au plumard toute la journée en vous gavant d'antidouleurs. Bougez-vous et vous vous donnez une chance que ça aille mieux ! " - " Personne ne peut rien dire, j'ai le droit de leur parler comme ça, commente-t-il, j'ai la même maladie qu'eux. " Pendant ses trois ans et demi de combat contre le cancer que j'ai quasiment vécus au jour le jour, les hospitalisations duraient toujours moins longtemps que prévu : au premier signe d'amélioration, il repartait, signait une décharge et retournait chez lui continuer la lutte. Tapie ou l'homme qui avait décidé de ne pas mourir".
  • Bernard Tapie. Leçons de vie, de mort et d'amour
    Bernard Tapie. Leçons de vie, de mort et d'amour Durant ces dernières années de combat contre le cancer, Franz Olivier Giesbert a dialogué avec Bernard Tapie, et ils ont parlé de tout. Sans fard. Et c'est ce portrait de celui dont la France a suivi les aventures pendant près de cinquante ans qu'il va faire vivre. Il ne prend jamais d'antidouleurs et je sais qu'il souffre le martyre. Sa femme partie se faire opérer, une opération lourde. Tout seul avec son chien et ses cancers, il m'appelle de plus en plus souvent pour me dire les mêmes choses, d'une voix faible, oppressée. " Les affaires, la politique, le football, le vélo, la télé, le cinéma, la prison, dit-il, je sais toujours de quoi je parle, contrairement à d'autres. C'est pourquoi les gens m'écoutent, moi. " Il a le " vécu ", comme on dit. L'hôpital aussi, Tapie connaît et il secoue volontiers les cancéreux : " Ne restez pas au plumard toute la journée en vous gavant d'antidouleurs. Bougez-vous et vous vous donnez une chance que ça aille mieux ! " - " Personne ne peut rien dire, j'ai le droit de leur parler comme ça, commente-t-il, j'ai la même maladie qu'eux. " Pendant ses trois ans et demi de combat contre le cancer que j'ai quasiment vécus au jour le jour, les hospitalisations duraient toujours moins longtemps que prévu : au premier signe d'amélioration, il repartait, signait une décharge et retournait chez lui continuer la lutte. Tapie ou l'homme qui avait décidé de ne pas mourir".
Plasma Review » People » Dans une lutte pour la survie contre le cancer, Bernard Tapie apparaît dans un programme de C8 où il avoue ses infidélités !