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Alors que la toute nouvelle saison de l’émission mythique de la téléréalité, Koh Lanta, bat encore son plein cette année, on peut dire que les scandales n’en finissent pas et c’est avec la plus grande surprise que l’on a pu encore découvrir ces dernières heures une information assez scandaleuse qui pourrait être amenée à tout changer si elle est bien vraie. Il faut bien avouer que l’on ne compte plus le nombre de fois où l’on a pu entendre parler de certaines émissions de télévision devenir du jour au lendemain la risée des réseaux sociaux, mais cette fois-ci en ce qui concerne Koh Lanta, ce n’est pas directement l’émission qui est mise en cause, bien au contraire !
En effet, depuis déjà de nombreuses années, il se trouve que l’émission Koh Lanta, présentée par Denis Brogniart sur TF1, fait un très gros carton à chaque nouvelle saison. Ce n’est d’ailleurs sûrement pas un hasard si la production de l’émission peut parfois provoquer certaines réactions quand on apprend qu’elle peut enregistrer plusieurs mois à l’avance les différents épisodes de chaque saison. Cela permet en effet à l’émission de pouvoir anticiper comme il se doit sur les prochaines diffusions, et ainsi permettre à tout le monde de pouvoir en profiter comme il se doit.
Mais en revanche, personne n’aurait pu penser une seule seconde qu’un nouveau scandale d’une telle envergure allait pouvoir de nouveau toucher Koh Lanta, et on peut même dire sans se tromper que cela risque de faire beaucoup de bruit dans les prochains mois à venir. En effet, cela fait des semaines entières que l’on entend tout et son contraire sur tout ce qui peut entourer Koh Lanta, et on se rend compte ainsi que le scandale n’est jamais loin pour cette émission pas comme les autres…
Laurent Maistret sort du silence et balance tout sur Koh Lanta
Avec de nouvelles accusations qui ne cessent de prendre de plus en plus d’ampleur à la fois dans les médias, mais également sur les réseaux sociaux, on peut ainsi très clairement constater que de plus en plus de personnes vont pouvoir avoir la chance de profiter pleinement des opportunités qui s’offrent à eux pour critiquer assez durement et violemment l’émission de TF1.
En effet, avec un très grand succès depuis déjà de très nombreuses années, on se doute très clairement que cela va pouvoir faire toute la différence dans les années à venir.
Mais plus récemment, ce sont des révélations assez dingues que l’on a pu entendre sur Claude qui ont pu tout remettre en cause. En effet, ce dernier a pu directement accuser une autre candidate, Charlotte, de ne pas être assez sportive. On se souvient également de certaines prises de paroles qui avaient pu mettre en avant des pactes « financiers » autour de candidats, notamment en 2005 avec Coumba et Clémence. Face à cette situation, il se trouve que Laurent Maistret a tenu à remettre de l’ordre dans cette sombre histoire…
Des rumeurs toutes fausses selon Laurent Maistret
C’est donc sur Twitter que ce dernier a donc pu prendre la parole pour pouvoir répondre à toutes les accusations qui concernent le programme Koh Lanta. En effet, avec de plus en plus de prises de paroles des anciens candidats qui peuvent dépasser les bornes, on se doute que ce dernier ne voit pas cela d’un très bon œil.
#tpmp Rumeur complètement fausse du soit disant pacte financier avec Claude et Phil. Je trouve ça dommage toutes ces fausses rumeurs lancées par des anciens aventuriers frustrés de ne pas etre dans cette édition.
— Laurent Maistret (@Laurentmaistret) October 7, 2021
Heureusement, la vérité finit toujours par éclater et on devrait pouvoir y voir un peu plus clair dans les jours à venir s’il y a une quelconque information à retenir de cette histoire pas comme les autres…
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La rumeurLa rumeur " Chez nous, a dit un jour Hugo Claus, la corruption est monnaie courante. C'est pourquoi, quand un scandale éclate au grand jour, nous sommes plus frappés que partout ailleurs ".La Rumeur est un de ces romans où Claus met en scène la " Flandre profonde ", avec l'œil aigu d'un grand peintre et l'humour ravageur qui le caractérise.A la fin des années soixante, la prospérité matérielle dissimule une grande misère morale. Dans le village de Bousekerke éclate une épidémie mystérieuse. Plus les faits sont inexpliqués, plus les explications foisonnent.Des dizaines d'habitants sont successivement touchés par la malédiction. A mesure que la liste des victimes s'allonge, la rumeur s'enfle, elle va, elle vient, elle repart, elle devient folle et stupide.Le carrefour en est le bistrot Le Pot-aux-Roses qui est la scène de tous les chapitres intitulés Nous, ce sont les habitués du café, qui jouent ici le rôle du chœur antique, annonciateur et commentateur des événements, mais un chœur à la fois comique et bête à pleurer, à force de prétendu bon sens.Chaque fois qu'une communauté est touchée par un malheur, elle se met en quête d'un bouc émissaire. Ce sera René Catrysse, revenu malade et épuisé d'un long séjour comme mercenaire en Afrique. Avec lui, Claus trouve l'occasion de nous faire quelques portraits acides et cruels de ces fameux " soldats perdus " dans la tourmente africaine.Le rythme est vif, la plume caustique, la profondeur psychologique remarquable, mais sans analyses ni longs commentaires : les personnages se révèlent dans quelques actes caractéristiques et dans un dialogue dont la qualité nous rappelle que Claus est aussi un maître du théâtre. -
La rumeurLa rumeur " Chez nous, a dit un jour Hugo Claus, la corruption est monnaie courante. C'est pourquoi, quand un scandale éclate au grand jour, nous sommes plus frappés que partout ailleurs ".La Rumeur est un de ces romans où Claus met en scène la " Flandre profonde ", avec l'œil aigu d'un grand peintre et l'humour ravageur qui le caractérise.A la fin des années soixante, la prospérité matérielle dissimule une grande misère morale. Dans le village de Bousekerke éclate une épidémie mystérieuse. Plus les faits sont inexpliqués, plus les explications foisonnent.Des dizaines d'habitants sont successivement touchés par la malédiction. A mesure que la liste des victimes s'allonge, la rumeur s'enfle, elle va, elle vient, elle repart, elle devient folle et stupide.Le carrefour en est le bistrot Le Pot-aux-Roses qui est la scène de tous les chapitres intitulés Nous, ce sont les habitués du café, qui jouent ici le rôle du chœur antique, annonciateur et commentateur des événements, mais un chœur à la fois comique et bête à pleurer, à force de prétendu bon sens.Chaque fois qu'une communauté est touchée par un malheur, elle se met en quête d'un bouc émissaire. Ce sera René Catrysse, revenu malade et épuisé d'un long séjour comme mercenaire en Afrique. Avec lui, Claus trouve l'occasion de nous faire quelques portraits acides et cruels de ces fameux " soldats perdus " dans la tourmente africaine.Le rythme est vif, la plume caustique, la profondeur psychologique remarquable, mais sans analyses ni longs commentaires : les personnages se révèlent dans quelques actes caractéristiques et dans un dialogue dont la qualité nous rappelle que Claus est aussi un maître du théâtre. -
La rumeurLa rumeur " Chez nous, a dit un jour Hugo Claus, la corruption est monnaie courante. C'est pourquoi, quand un scandale éclate au grand jour, nous sommes plus frappés que partout ailleurs ".La Rumeur est un de ces romans où Claus met en scène la " Flandre profonde ", avec l'œil aigu d'un grand peintre et l'humour ravageur qui le caractérise.A la fin des années soixante, la prospérité matérielle dissimule une grande misère morale. Dans le village de Bousekerke éclate une épidémie mystérieuse. Plus les faits sont inexpliqués, plus les explications foisonnent.Des dizaines d'habitants sont successivement touchés par la malédiction. A mesure que la liste des victimes s'allonge, la rumeur s'enfle, elle va, elle vient, elle repart, elle devient folle et stupide.Le carrefour en est le bistrot Le Pot-aux-Roses qui est la scène de tous les chapitres intitulés Nous, ce sont les habitués du café, qui jouent ici le rôle du chœur antique, annonciateur et commentateur des événements, mais un chœur à la fois comique et bête à pleurer, à force de prétendu bon sens.Chaque fois qu'une communauté est touchée par un malheur, elle se met en quête d'un bouc émissaire. Ce sera René Catrysse, revenu malade et épuisé d'un long séjour comme mercenaire en Afrique. Avec lui, Claus trouve l'occasion de nous faire quelques portraits acides et cruels de ces fameux " soldats perdus " dans la tourmente africaine.Le rythme est vif, la plume caustique, la profondeur psychologique remarquable, mais sans analyses ni longs commentaires : les personnages se révèlent dans quelques actes caractéristiques et dans un dialogue dont la qualité nous rappelle que Claus est aussi un maître du théâtre.
