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L'élection Présidentielle 2007 de A à ZL'élection Présidentielle 2007 de A à Z Comment s'y retrouver dans la jungle des propositions, idées, avis, et autres manifestes des candidats à l'élection présidentielle ? Il n'est pas facile de se forger une réelle opinion dépassant l'image forcément simpliste renvoyée par les médias. L'ambition de ce guide didactique est donc de clarifier le débat et de confronter les idées.François Bayrou, Olivier Besancenot, Marie-George Buffet, Arlette Laguiller, Jean-Marie Le Pen, Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy, Philippe de Villiers et Dominique Voynet : les programmes; les parcours personnels et politiques sont synthétisés.Sans parti pris, l'auteur dissèque leurs idées de A à z :- Quel sont leurs programmes en matière d'aide sociale ? - Que feraient-ils pour lutter contre le chômage ? - Quelles sont leurs opinions sur l'immigration ? - Comment comptent-ils protéger l'environnement ? -Veulent-ils diminuer ou augmenter les impôts ? - Quelles seraient leurs politiques en matière de sécurité ou de solidarité ? Et la famille ? Et l'Europe ?...
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Manifeste pour éviter la gueule de bois. Présidentielle 2007Manifeste pour éviter la gueule de bois. Présidentielle 2007 Aujourd'hui encore, 1 Français sur 3 est en panne de perspective de vote. Gilles de Robien lui-même n'a pas arrêté son choix. Comment se décider, en effet, quand chaque candidat privilégie le spectacle, la démolition de ses rivaux plutôt que des propositions positives, et une vision apocalyptique - erronée - de l'état de la France, pour mieux apparaître en sauveur éventuel ? Une tactique chère à Jean-Marie Le Pen, et dont la généralisation risque de le servir, comme en 2002. Va-t-on, une fois de plus, voter au second tour " faute de mieux ", quitte pour certains à avoir, le lendemain, la " gueule de bois " ?Fort de son expérience et face au paysage politique actuel, Gilles de Robien, élu d'Amiens et ministre de l'Éducation nationale, nous livre quelques clés de réflexion pour choisir en toute connaissance de cause, et exhorte du même coup les protagonistes de la campagne à élever le débat.
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Manifeste pour éviter la gueule de bois. Présidentielle 2007Manifeste pour éviter la gueule de bois. Présidentielle 2007 Aujourd'hui encore, 1 Français sur 3 est en panne de perspective de vote. Gilles de Robien lui-même n'a pas arrêté son choix. Comment se décider, en effet, quand chaque candidat privilégie le spectacle, la démolition de ses rivaux plutôt que des propositions positives, et une vision apocalyptique - erronée - de l'état de la France, pour mieux apparaître en sauveur éventuel ? Une tactique chère à Jean-Marie Le Pen, et dont la généralisation risque de le servir, comme en 2002. Va-t-on, une fois de plus, voter au second tour " faute de mieux ", quitte pour certains à avoir, le lendemain, la " gueule de bois " ?Fort de son expérience et face au paysage politique actuel, Gilles de Robien, élu d'Amiens et ministre de l'Éducation nationale, nous livre quelques clés de réflexion pour choisir en toute connaissance de cause, et exhorte du même coup les protagonistes de la campagne à élever le débat.
Dans un entretien avec Figaro, l’ancien premier ministre se prononce sur son ancien parti politique les Républicains. A quelques jours de leur congrès où ils désigneront leur candidat pour la présidentielle de 2022, les prétendants à l’investiture du parti se trouvent dans la dernière ligne droite de la campagne. Parmi les solutions que proposent ces candidats sur certains problèmes de la nation, Édouard Philippe se démarque et dit ne pas se retrouver dans ces propositions.
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« Je ne me reconnais plus dans certaines de leurs propositions »
Depuis 2017, Edouard Philippe s’est peu exprimé sur les Républicains, la formation dans laquelle il a forgé sa carrière politique. Il a attendu ainsi la veille de la prochaine présidentielle pour se prononcer. Dans une interview accordée ce mardi 23 novembre à Figaro, il exprime son regret face à la ligne politique adoptée aujourd’hui par le parti. Pour lui, à écouter les candidats à l’investiture de LR, il affirme que les propositions qu’effectuent les prétendants ne respectent plus les valeurs de droite.
L’ancien premier ministre s’étonne que les candidats à l’investiture LR réduisent tout le débat public au sujet de la sécurité et de l’immigration. « Que l’immigration et la sécurité soient des sujets sérieux et suscitent une forme d’inquiétude ou de peur, c’est évident. De là à réduire tout le débat public à ces sujets, je m’y refuse », se démarque ainsi le maire de Havre.
Ce qu’il trouve extravagant est « cette capacité de LR à présenter une succession de mesures qui s’appliqueraient de façon immédiate, sans regarder ni le temps long ni le contexte international », se désole-t-il. L’ex-jupéiste reste visiblement toujours attaché aux principes de la droite tout en ayant un regard au centre.
Toutefois, il loue les bonnes relations qu’ils gardent toujours avec ses anciens compagnons. « J’ai de l’estime pour beaucoup des candidats LR à cette primaire et je les sais sincèrement amoureux de la France. Mais je ne me reconnais plus dans certaines de leurs propositions ni dans leurs choix », clarifie-t-il en déplorant l’opposition systématique dont font preuve les candidats à l’égard du gouvernement d’Emmanuel Macron.
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Un appel du pied aux déçus
Selon le maire de Havre, les Républicains manquent d’une profondeur de champ. « Aujourd’hui, il y a cinq candidats qui veulent faire arbitrer leurs ambitions par 150 000 personnes et qui donnent l’impression de faire la course à celui qui sera le plus à droite, le plus affirmatif, le plus volontaire », analyse-t-il à quelques jours seulement du congrès des Républicains.
Dans tout le lot, seul Eric Ciotti est resté cohérent dans ses propositions. « J’ai l’impression qu’à part Éric Ciotti, qui est le plus cohérent et le plus constant, tout autre candidat investi par le congrès LR recentrera assez vite son discours… », a-t-il remarqué.
Pour certains observateurs politiques, Edouard Philippe veut profiter de ce vide pour renforcer son nouveau parti politique dont la ligne politique est identique à celle de la droite. Pour preuve, dans les colonnes de Figaro, il ne manque pas de lancer un appel aux sympathisants de droite et du centre. « À tous ceux qui, venant de la droite et du centre, veulent dépasser les vieux appareils et servir leur pays, je leur dis évidemment bienvenue ! » Pour lui, il serait plus facile pour les militants LR de se reconnaitre dans les valeurs qu’ils défendent.
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Les kamikazes 2022Les kamikazes 2022 Après une année qui a traumatisé la société française, il faudrait être un peu fou voire suicidaire pour se présenter à la présidentielle de 2022. Pourtant, certains, déclarés ou pressentis, cherchent déjà à se positionner. Qui sont-ils ? Parviendront-ils à relever le défi qui les attend ? Tour d'horizon des kamikazes de la République, par un des rédacteurs en chef de L'Obs. L'un d'eux sera président en 2022 Il faut être fou et un peu suicidaire pour se présenter à la présidentielle de 2022. Qui, disposant de toute sa raison, pourrait bien vouloir assumer la responsabilité suprême face à une crise sanitaire qui s'éternise ? Quel esprit dérangé peut espérer combler notre abyssal déficit budgétaire ? Qui peut prétendre redresser les comptes publics tout en négociant la transition énergétique, face à la défiance de citoyens au bord de la crise de nerfs ? Non, décidément, les prétendants à l'Elysée en 2022 sont des kamikazes ! A moins d'un an du scrutin, Les kamikazes dresse le portrait des candidats qui ont une chance d'exercer demain le pouvoir en France. Qui sont-ils vraiment ? Quel parcours fut le leur avant qu'ils songent à se présenter ? Quelles sont leurs forces et leurs faiblesses ? Ont-ils une part d'ombre, des blessures secrètes ? Sont-ils taillés pour une fonction que l'on sait écrasante ? Emmanuel Macron, Marine Le Pen, Xavier Bertrand, Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot... Parmi eux, se niche ce suicidaire vers lequel convergeront tous les regards, toutes les attentes, toutes les revendications.
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Les kamikazes 2022Les kamikazes 2022 Après une année qui a traumatisé la société française, il faudrait être un peu fou voire suicidaire pour se présenter à la présidentielle de 2022. Pourtant, certains, déclarés ou pressentis, cherchent déjà à se positionner. Qui sont-ils ? Parviendront-ils à relever le défi qui les attend ? Tour d'horizon des kamikazes de la République, par un des rédacteurs en chef de L'Obs. L'un d'eux sera président en 2022 Il faut être fou et un peu suicidaire pour se présenter à la présidentielle de 2022. Qui, disposant de toute sa raison, pourrait bien vouloir assumer la responsabilité suprême face à une crise sanitaire qui s'éternise ? Quel esprit dérangé peut espérer combler notre abyssal déficit budgétaire ? Qui peut prétendre redresser les comptes publics tout en négociant la transition énergétique, face à la défiance de citoyens au bord de la crise de nerfs ? Non, décidément, les prétendants à l'Elysée en 2022 sont des kamikazes ! A moins d'un an du scrutin, Les kamikazes dresse le portrait des candidats qui ont une chance d'exercer demain le pouvoir en France. Qui sont-ils vraiment ? Quel parcours fut le leur avant qu'ils songent à se présenter ? Quelles sont leurs forces et leurs faiblesses ? Ont-ils une part d'ombre, des blessures secrètes ? Sont-ils taillés pour une fonction que l'on sait écrasante ? Emmanuel Macron, Marine Le Pen, Xavier Bertrand, Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot... Parmi eux, se niche ce suicidaire vers lequel convergeront tous les regards, toutes les attentes, toutes les revendications.
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Bulles de campagneBulles de campagne On croyait avoir tout vu dans cette campagne présidentielle, mais on se trompait : nous avons pu soustraire à l'attention des RG certains clichés compromettant concernant nos joyaux candidats. Des documents explosifs, puisqu'il s'agit de photos qui parlent ! Des candidats pris sur le vif, dans des postures peu avantageuses, proférant des insanités, c'est un peu gros, direz-vous...Pas sûr ! Et si c'était ce qu'ils pensent vraiment ?