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Dans le combat contre le cancer du sein, plusieurs pistes continuent d’être explorées. Il n’est pas rare de voir le mal revenir après un traitement chez certaines patientes. C’est dans l’objectif de prévenir cette récidive qu’une étude est en train d’envisager la consommation des noix par les patients. Une solution qui pourra sauver des milliers de femmes.
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Des noix pour combattre la récidive du cancer du sein ?
C’est ce qu’une étude récente est en train de proposer. Elle était déjà reconnue pour son efficacité contre d’autres cancers. La noix prévient et soigne plusieurs autres maladies. Elle a des vertus protectrices des artères et prévient de ce fait contre les AVC.
Protectrice du cerveau, elle corrige aussi quelques dysfonctionnements au niveau des capacités sexuelles masculines. Les chercheurs pensent qu’on pourrait l’utiliser de même que plusieurs autres fruits à coque contre le cancer du sein. Elle participera à limiter les cas de récidives et le taux de mortalité chez les victimes.
En quoi a consisté l’étude ?
C’est une confirmation d’autres études qui avaient déjà prouvé l’efficacité des noix et fruits à coque dans la réduction des tumeurs chez les animaux. Celle récente a consisté pour les chercheurs à suivre environ 3500 femmes qui avaient été soignées déjà du cancer du sein. C’est dans le « International Journal of cancer » qu’elle a été publiée. Il fallait évaluer sur une période de cinq ans les effets des noix et autres fruits à coque sur la santé des personnes. Une partie consommait dans les repas des noix, contrairement à l’autre partie.
Au bout de l’expérience, les chercheurs ont constaté que les personnes qui consommaient régulièrement des noix et d’autres fruits présentaient moins de risques de récidive. Ce n’était pas pareil chez les autres. Il a été constaté également que les noix protégeaient plus celles qui étaient à un début de la maladie que celles ayant une situation déjà plus grave. Le taux de mortalité chez les consommatrices de noix était faible contrairement au taux chez les autres.
Les conclusions des chercheurs
De cette expérience, les chercheurs ont conclu que ce n’est pas seulement contre la récidive que les noix protègent. Elles sont aussi une mesure préventive contre le cancer du sein chez les personnes n’ayant pas souffert de ce cancer. Ils recommandent alors d’en consommer régulièrement dans les repas. Surtout après la cinquantaine, il faut en consommer jusqu’à environ 20 g par jour. C’est une mesure préventive.
Pourquoi les noix sont efficaces contre le cancer du sein ?
Selon les spécialistes en nutrition, elles sont riches en fibres, en vitamines et des graisses non dangereuses. Elles seraient en même temps des anti-inflammatoires et antioxydants. Elles freinent la propagation des cellules cancérogènes.
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Une mise en garde importante
Selon les spécialistes, la consommation des noix n’est pas suffisante pour ne plus aller en consultation. Il ne faut pas aussi arrêter les traitements au profit de la consommation des noix. Après la ménopause, les femmes doivent se faire consulter chez un médecin régulièrement. Seul le spécialiste est capable de poser un diagnostic crédible.
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Comment enrayer "l'épidémie" des cancers du sein et des récidives ?Comment enrayer "l'épidémie" des cancers du sein et des récidives ? Avec 53 000 nouveaux cas en France attendus en 2010 et 1, 4 million dans le monde, le cancer du sein est devenu le fléau, surtout dans le monde occidental, chez des femmes de plus en plus jeunes. C'est pourtant une épidémie évitable, ce livre le démontre. Un chirurgien cancérologue et une gynécologue phytothérapeute répondent aux questions que l'on se pose à propos de cette maladie éprouvante. Comment dépister, comment prévenir, comment guérir ? Comment éviter les récidives ou l'apparition de la maladie dans l'autre sein ? Quel pronostic ? Voici la réponse à des inquiétudes légitimes : pourquoi suis-je atteinte ? Quelles sont donc les causes réelles ? La place de la génétique, du choc psychologique, des hormones artificielles de la pilule ou des traitements de la ménopause, mais aussi d'une mauvaise alimentation, du tabac, de la pollution et des pesticides... Il est essentiel que les femmes comprennent la construction du sein à la puberté et ces facteurs de croissance que sont les hormones naturelles fabriquées par les ovaires qui les protègent. Face à toutes les hormones prescrites à la puberté, ta pilule donnée aux adolescentes, le stérilet hormonal, le THS ou THM, le Pr H. Joyeux et le Dr B. Arnal s'engagent sans langue de bois. Ils osent écrire ce que beaucoup de médecins pensent tout bas. Ils ne se laissent pas abuser par la toute puissance des laboratoires pharmaceutiques, ceux qui participent aux causes et ceux qui proposent des traitements parfois excessifs. Savoir et mettre en pratique des conseils très écologiques, c'est la première étape de la prévention et du dépistage précoce. Si les femmes sont bien informées, elles suivront ces conseils. On verra alors ce fléau enfin enrayé. Le professeur Henri Joyeux est Chirurgien Cancérologue et Chirurgien des Hôpitaux. Il enseigne à la Faculté de médecine de Montpellier. Le docteur Bérengère Arnal est Gynécologue-Obstétricien à Bordeaux. Elle est responsable du DU de phytothérapie de la Faculté de Médecine-Paris XIII.
